Les guillotinés de la Révolution Algérienne, cas de : Babouche Saïd, Manseri Amar et Louni Arezki

Mezhoura SALHI HOCINE L’HADJ

Résumé


De tous les crimes abominables commis par l’occupation coloniale française, la guillotine fut la sentence la plus terrible prononcée l’encontre des Algériens.

            Les combattants qui luttaient pour la liberté de l’Algérie furent exécutés par la guillotine, car considérés comme des délinquants et des criminels de droit commun.

             Au 19 juin 1956, 150 Algériens étaient déjà condamnés à mort pour avoir osé porter les armes pour le recouvrement de l'indépendance l’Algérie. Parmi les hommes qui ont sacrifié leurs vies pour les idéaux de la lutte armée de libération nationale du peuple algérien, on peut citer: Louni Arzeki, Babouche Said et Manseri Amar.

            Lors de leurs exécutions capitales, le premier à être guillotiné fut Louni Arezki âgé à peine de 32 ans, épicier demeurant à Alger.

            Ces guillotinés, ont porté dans leurs cœurs et dans leurs âmes très tôt,  à fleur d’âge, l’amour de la patrie, le sentiment nationaliste  et le refus de la soumission au colonialisme.


Mots-clés


Guillotine; crimes; torture; exécution; révolution; libération; national

Texte intégral :

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